Concert

Après avoir exploré un terrain très acoustique, Sally a compris, face aux multiples propositions de producteurs notamment en travaillant avec Makeameal qu’elle souhaitait proposer une musique encore singulière dans l’hexagone. Un R’n’B coloré de trap ou de soul, synthétique ou organique, selon les humeurs, permettant à sa voix de jouer sur de multiples intonations. « J’aime me surpasser, dit-elle, je ne veux pas faire de musique d’autoroute ». Amateurs d’easy listening, passez votre chemin ! Même si Sally n’oublie pas pour autant la force des mélodies. Ce sont elles qui nourrissent ses textes francophones, très personnels, où elle raconte « la vie, la dépression, les déceptions amoureuses... la vie!». Du point de vue des textes, elle s’inspire d’artistes comme Lomepal, « pour qui la folie n’est pas un tabou », mais aussi de Kali Uchis, M.I.A, Rosalia ou Kid Cudi. Le détournement des codes, oui, mais il faut toujours, et avant tout, de la sincérité.

C’est ce qu’on entend sur son premier EP Pyaar (amour en hindi) qui s’ouvre sur
« JFLA »
, hymne d’indépendance féminin qui assume sa peur de l’engagement :
« je me suis cachée dans l’océan de douleur que je me suis créé », regrette-elle.S’ensuit « Plus le temps », aux tonalités plus hip hop. « Puisqu’il faut », lui, narre les séquelles d’un échec amoureux, « état d’ivresse sur la route de la tristesse », tandis que « Corps à Corps » explore le désir et que « Vrille », en parfaite conclusion, explique à quel point il est difficile de se détacher d’une personne toxique. D’après Sally, qui sait de quoi elle parle malgré son jeune âge, la femme doit s’imposer en amour comme au quotidien. Ainsi, elle ne compte pas dissimuler sa bipolarité, et même en faire une force alors que la société réalise enfin que les névroses n’ont rien d’honteux ni de rares. Ce n’est pas un hasard si Fight Club est le film préféré de Sally !

LujipekaFrance / Rap

Membre de Columbine, Lujipeka ouvre un nouveau chapitre du collectif en publiant ses premiers titres sous son nom, annoncant un projet de rap avant-gardiste aux influences multiples (Lomepal, Post Malone, Tyler The Creator, Billie Eilish). 

Les albums du groupe rennais Columbine ont toujours été un savant mélange de titres solos de Lujipeka, de Foda C et de titres en commun. 

Pour ces premiers titres, Lujipeka conserve les bases fondamentales du collectif en mêlant compositions personnelles et travail avec ses collaborateurs de longue date (Junior Alaprod, S2Keyz, Heezy Lee…).

Un mélange qui promet d’être éclectique et riche, à mi-chemin entre chanson française guitare-voix, rap pur et rock indé. 

Lujipeka, artiste singulier et accompli, invente une musique à son image, entre la liberté d’un Tyler The Creator, l’écorchage d’un Kurt Cobain et sa dégaine filiforme à la Iggy Pop.

A seulement 23 ans, Lujipeka est en passe de se réaliser en artiste accompli, à la fois interprète, compositeur, producteur mais aussi jeune entrepreneur.

SallyFrance / R'n'B / Pop

Après avoir exploré un terrain très acoustique, Sally a compris, face aux multiples propositions de producteurs notamment en travaillant avec Makeameal qu’elle souhaitait proposer une musique encore singulière dans l’hexagone. Un R’n’B coloré de trap ou de soul, synthétique ou organique, selon les humeurs, permettant à sa voix de jouer sur de multiples intonations. « J’aime me surpasser, dit-elle, je ne veux pas faire de musique d’autoroute ». Amateurs d’easy listening, passez votre chemin ! Même si Sally n’oublie pas pour autant la force des mélodies. Ce sont elles qui nourrissent ses textes francophones, très personnels, où elle raconte « la vie, la dépression, les déceptions amoureuses… la vie!». Du point de vue des textes, elle s’inspire d’artistes comme Lomepal, « pour qui la folie n’est pas un tabou », mais aussi de Kali Uchis, M.I.A, Rosalia ou Kid Cudi. Le détournement des codes, oui, mais il faut toujours, et avant tout, de la sincérité.

C’est ce qu’on entend sur son premier EP Pyaar (amour en hindi) qui s’ouvre sur « JFLA », hymne d’indépendance féminin qui assume sa peur de l’engagement : « je me suis cachée dans l’océan de douleur que je me suis créé », regrette-elle.S’ensuit « Plus le temps », aux tonalités plus hip hop. « Puisqu’il faut », lui, narre les séquelles d’un échec amoureux, « état d’ivresse sur la route de la tristesse », tandis que « Corps à Corps » explore le désir et que « Vrille », en parfaite conclusion, explique à quel point il est difficile de se détacher d’une personne toxique. D’après Sally, qui sait de quoi elle parle malgré son jeune âge, la femme doit s’imposer en amour comme au quotidien. Ainsi, elle ne compte pas dissimuler sa bipolarité, et même en faire une force alors que la société réalise enfin que les névroses n’ont rien d’honteux ni de rares. Ce n’est pas un hasard si Fight Club est le film préféré de Sally !