AlGhar + Edredon Sensible + Zar Elecktrik / jeudi 18 septembre 2025

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Concert

AlGhar

21h30

50min

Objet d’abord solo de la chanteuse Laurène Pierre-Magnani, AlGhar devient un duo avec le batteur et chanteur Neige Arnaud en 2024 et sera sélectionné pour le showcase Musique Danse Loire-Atlantique la même année, puis pour le 360 de Trempo 2024/2025.

AlGhar – le laurier, en arabe – assemble des chansons suspendues entre la basse et la voix, imprégnées de soul, de poésie et de musiques d’ailleurs. Ses boucles au looper et sa touche de percussions dessinent un set hybride et nourri d’improvisation, qui le placent quelque part entre Sandra Nkaké et Leïla Martial.
Écrits dans plusieurs langues, les textes léchés dévoilent un univers têtu, amoureux, marqué par les questions d’identités.

www.alghar-musique.com/

Distribution

Distribution de : Laurène Pierre-Magnani
Chant, basse, looper, kalimba et percussion légère : Laurène Pierre-Magnani
Batterie, choeurs : Neige Arnaud

Edredon Sensible

22h40

50 min

Edredon Sensible c’est quatre types qui battent des bras et qui soufflent. Ils se regardent avec les yeux dans les oreilles pour danser partout mais surtout par terre. Y’a aussi de la transpiration sur eux et si possible sur les autres. Leur passion ? Brûle Babylone mais toujours par la Bouche. Leur but ? La catharsis. L’éruption. Les petits guilis dans le cou qui font sentir qu’on est vivant. Edredon Sensible c’est quatre types. Deux qui battent des bras. Deux qui soufflent. Les morceaux ils sont hyper longs. C’est la transe.

Distribution

Saxophone ténor : Jean Lacarrière
Saxophone baryton : Tristan Charles-Alfred
Batterie, percussions : Antoine Perdriolle et Mathias Bayle
Régie son : Mona Doidy
Production : Matthieu Cardon

Zar Electrik

23h50

50 min

Quand les transes gnaouies rencontrent les boucles de la musique subsaharienne et se mêlent à l’électro la plus ensorcelante, la célébration se fait forcément explosive.

Sur les pistes de cet african techno, Anass Zine et Arthur Péneau, chanteurs-instrumentistes au gumbri, à l’oud et à la kora électrique, embarquent Did Miosine aux machines pour un trip envoûtant aux confins du Maghreb.

Derrière les voix enchanteresses ou rugissantes, l’appel à la danse se fait par les rythmes et les soubresauts ternaires baignés d’électro. Ça tourne jusqu’à s’étourdir, ça bouillonne et tourbillonne dans des transes infinies aux échos d’Orient et aux grooves apatrides.

Distribution

Chant, guitare, oud, gumbri et percussions : Anass Zine
Chant, kora : Arthur Péneau
Machines, synthés … : Didier Simione